Interview de Frédéric Molina
de Compiègne
de Compiègne
QUESTION N° 1 : Quel est
le contexte de cette affaire à Compiègne ?
J’ai eu une relation sentimentale avec Madame Marie-Laure Ringler à Compiègne.
Suite à un désaccord intervenu à Compiègne entre nous, elle a commencé à avoir des comportements violents qui n'ont eu de cesse depuis.
Un jour elle est montée sur le toit de sa maison à Compiègne où elle a :
- cassé à coup de hache les velux ;
- arraché toute la toiture ;
Ensuite elle est descendue dans la maison de Compiègne et a donné des coups de hache dans tous les isolations des murs.
Elle a tout cassé dans une crise de violence à Compiègne.
QUESTION N° 2 : Est-ce que vous avez les preuves de ceci : que Madame Marie-Laure Ringler est violente et qu’elle a tout cassé dans sa propre maison à Compiègne ?
Affirmatif, j’ai toutes les preuves.
Je vous fournis une vidéo tournée dans maison de Madame Marie-Laure Ringler à Compiègne qui montre les destructions qu’elle a effectuées avec une hache.
( Nota : Voir ci-dessous, la vidéo des destructions effectuées par Madame Marie-Laure Ringler )
J’ai eu une relation sentimentale avec Madame Marie-Laure Ringler à Compiègne.
Suite à un désaccord intervenu à Compiègne entre nous, elle a commencé à avoir des comportements violents qui n'ont eu de cesse depuis.
Un jour elle est montée sur le toit de sa maison à Compiègne où elle a :
- cassé à coup de hache les velux ;
- arraché toute la toiture ;
Ensuite elle est descendue dans la maison de Compiègne et a donné des coups de hache dans tous les isolations des murs.
Elle a tout cassé dans une crise de violence à Compiègne.
QUESTION N° 2 : Est-ce que vous avez les preuves de ceci : que Madame Marie-Laure Ringler est violente et qu’elle a tout cassé dans sa propre maison à Compiègne ?
Affirmatif, j’ai toutes les preuves.
Je vous fournis une vidéo tournée dans maison de Madame Marie-Laure Ringler à Compiègne qui montre les destructions qu’elle a effectuées avec une hache.
( Nota : Voir ci-dessous, la vidéo des destructions effectuées par Madame Marie-Laure Ringler )
A droite, Stéphane Hardouin
le procureur de Compiègne qui a fait jeter en prison
Monsieur Frédéric Molina
Cliquez sur la vidéo pour voir
les destructions effectuées par
Madame Marie-Laure Ringler de Compiègne
Oui, j’y pense, on m’a indiqué que je pourrais engager le colonel Igor Touchpareff, un ancien du KGB reconverti comme détective privé, il est très efficace paraît il.
J’ai le droit de connaître la vérité, j’ai le droit de savoir qui a organisé contre moi des procédures sur des infractions imaginaires.
Si la justice ne fait pas son travail dans les procédures montées contre moi, j’envisagerais cette solution, on ne peut pas accepter que le service public de la justice soit utilisé à des fins de « règlement de compte ».
Je vais prochainement mettre en place une adresse mail, pour que toute personne détenant des informations sur cette affaire, puisse dans le respect de l'anonymat, me dire qui a organisée cette " cabale " contre moi.
On me conseille même d'offrir une prime, aux personnes qui me permettront de découvrir la vérité sur cette affaire.
Je réfléchis à cette possibilité.
QUESTION N° 23 : Dans cette affaire, qui est le directeur de l’enquête
C’est le gendarme Jean-Yves Sergent qui a commis plusieurs irrégularités, c'est un " spécialiste de la pédale ", je veux dire un ancien coureur cycliste, je crois qu'il s'est préparé pour le Tour de France et pour le Paris Roubaix, c'est très dur les sports de pédale, il faut pédaler et encore pédaler pendant des heures et des heures, c'est très dur.
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le procureur de Compiègne qui a fait jeter en prison
Monsieur Frédéric Molina
Cliquez sur la vidéo pour voir
les destructions effectuées par
Madame Marie-Laure Ringler de Compiègne
QUESTION N° 3 : Est-ce que
Madame Marie-Laure Ringler a reconnu les faits ?
Oui elle a
reconnu, devant la juge d’instruction Gwenola Journot, être monté sur le toit
de sa maison à Compiègne avec une hache et avoir cassé les velux et toute la toiture.
QUESTION N° 4 : Est ce que
Madame Marie-Laure Ringler a fait d’autres destructions dans sa propre
maison de Compiègne
Oui. Elle a encore
tapé sur un tableau électrique sous tension avec une barre de fer, au risque de
s’électrocuter elle-même. Ce jour là il y a eu des étincelles partout. C’était
irréaliste à Compiègne.
J'ai tenté de l’empêcher, elle m’a donné un coup de barre de fer sur l'épaule à Compiègne.
QUESTION N° 5 : Est-ce que
ces faits sont prouvés ?
Oui, ce jour là
un chef électricien était présent sur le chantier de la maison à Compiègne. Il a vu Madame
Marie-Laure Ringler taper sur le tableau électrique avec une barre de fer. Il a
consigné son témoignage sur procès verbal.
Ce procès
verbal est entre les mains de la juge d’instruction Gwenola Journot.
QUESTION N° 6 : Si j’ai
bien compris, suite à cet événement, Madame Marie-Laure Ringler a continué en
déposant plainte contre vous pour violence sur ex conjoint. C’est le monde à
l’envers !
Oui, Madame
Marie-Laure Ringler a continué en exerçant des violences cette fois physiques
et psychologiques, en essayant de me menacer ! En août 2012 elle a tenté
de me poignarder dans la cuisine de la maison à Compiègne ! J’ai réussi à m’écarter à
temps. Elle s’est alors violement tapé la tête contre la poignée du four.
Je l’ai amenée
à l’hôpital à Compiègne où elle a été soignée. Deux jours plus tard, à ma grande stupeur,
j’apprends qu’elle a écrit au procureur de Compiègne pour dénoncer que j’aurais été violent
avec elle, ce qui est faux ! Au surplus, elle ne porte pas plainte contre
moi à Compiègne.
Du mois d’août
2102 jusqu’au mois d’octobre 2014, elle est allée régulièrement porter plainte
contre moi pour des infractions imaginaires :
- violence sur
ex conjoint ;
-
harcèlement ;
- destruction
de bien (qui concernerait une prise de courant à 5,50 Euros et un morceau de
gouttière à 12, 50 Euros).
Je conteste
toutes ces fausses accusations !
QUESTION N° 7 : Vous me
dites avoir fait l’objet de menace de mort de la part Madame Marie-Laure
Ringler ?
Oui, au cours d’une conversation téléphonique à Compiègne,
Madame Marie-Laure Ringler m’a menacé de mort. Elle m’a indiqué qu’elle
préparait contre moi un coup tordu, et que les gendarmes viendraient
prochainement chez moi à Compiègne, la conversation a été enregistrée.
QUESTION N° 8 : Comment
les choses ont-elles évolué ?
Le 18 décembre 2014, j’ai été convoqué chez les
gendarmes de Compiègne suite à la plainte de Madame Marie-Laure Ringler.
Je suis allé à cette convocation avec un constat
d’huissier qui avait transcrit la conversation téléphonique dans laquelle elle
m’avait menacé de mort et dans laquelle elle avait traité mon fils de " bougnoul ".
J’ai été placé en garde à vue pendant 48 heures à Compiègne, sur
les ordres du Procureur Stéphane Hardouin.
Au bout de 48 heures, j’ai été renvoyé devant la
juge d’instruction Marion Gardin, qui m’a mis en examen sur les infractions
imaginaires dénoncées par Madame Marie-Laure Ringler :
- violence sur ex conjoint (Madame Marie-Laure
Ringler) ;
- destruction d’une prise de courant à 5,5 Euros et
d’un morceau de gouttière à 12,5 Euros ;
- harcèlement ;
- fabrication d’un faux constat d’huissier, le
constat réalisé par Me Alain Rémy, Huissier de justice à Compiègne.
Ensuite la juge d’instruction Marion Gardin, sur les
ordres du Procureur Stéphane Hardouin, a demandé au juge de la détention et des
libertés mon placement en détention provisoire à Compiègne.
Stéphane hardouin
exige la détention provisoire
pour Frédéric Molina
QUESTION N° 9 : Comment
s’est passé l’audience pour la mise en détention provisoire ?
Le juge de la
détention et des libertés a indiqué à mon avocat que la demande de placement en
détention provisoire n’était pas justifiée.
Une fois sorti
du bureau du juge de la détention et des libertés, j’ai vu le Procureur
Stéphane Hardouin et le gendarme Jean-Yves Sergent monter à l’étage,
probablement pour téléphoner au juge de la détention et des liberté. Ce dernier
a alors été informé qu’un témoignage sous X, me dénonçait comme étant soi-disant
le commanditaire d’une agression à la sortie de Compiègne, ce que je conteste formellement.
Dans certaines
affaires graves, ce qui n’est pas le cas ici, la loi autorise une personne à
délivrer un témoignage sans que son nom soit connu.
Le 19 décembre
2014, j’ai donc été placé en détention provisoire suite à la plainte de Madame
Marie-Laure Ringler :
- sur la
demande de la juge d’instruction Marion Gardin ;
- et sur la
demande expresse du Procureur Stéphane Hardouin.
La détention provisoire
est pour l’essentiel motivée par le fait que j’aurais fabriqué un faux constat
d’huissier.
Stéphane hardouin
exige la détention provisoire
pour Frédéric Molina
Stéphane hardouin
exige la détention provisoire
pour Frédéric Molina
Stéphane hardouin
exige la détention provisoire
pour Frédéric Molina
QUESTION N° 10 : Le juge
d’instruction a finalement découvert que vous n’aviez pas fabriqué un faux constat
d’huissier. A quelle date ?
Le 07 janvier
2015, le juge d’instruction a perquisitionné l’étude de l’huissier Alain Rémy
à Compiègne et a trouvé le constat d’huissier, authentique, dont le caractère prétendument
faux avait motivé ma mise en examen et mon placement en détention provisoire le
14 décembre 2014.
Dès lors, il
était clairement établi que j’avais été accusé et placé en détention provisoire
à tort.
QUESTION N° 11 : Le juge
d’instruction vous a-t-il remis en liberté après avoir découvert que vous étiez
innocent au sujet du prétendu faux constat d’huissier
Et bien non,
je n’ai pas été remis en liberté !
A partir du 08 janvier 2015, c’est la juge Gwenola
Journot qui a récupéré le suivi de cette affaire.
A trois reprises mon super avocat, Me François Dangléhant,
a demandé ma remise en liberté à la juge d’instruction Gwenola Journot. Et à
trois reprises elle a refusé, en prétendant à nouveau faussement que j’avais
mis en place une organisation visant à fabriquer des faux constats d’huissier.
Le 14 avril 2015, le juge de la détention et des libertés
a rejeté ma 4ème demande de remise en liberté, sur les ordres de la
juge d’instruction Gwenola Journot.
Le 14 avril 2015, la Chambre de l’instruction de la
cour d’appel d’Amiens m’a remis en liberté.
La Chambre de l’instruction de la cour d’appel d’Amiens
est dirigée par le Président Michel Mouchard qui un juge remarquable et très
compétant
QUESTION N° 12 : Vous
m’avez parlé d’un témoignage sous X, de quoi s’agit il exactement
En septembre
2014, une employé de la ville de Compiègne a été agressée, il s’agit d’une
personne qui travaille au service des permis de construire.
Le 23 octobre
2014, une personne a été auditionnée à la gendarmerie de Compiègne par le
gendarme Sergent.
Cette personne
a dénoncé le fait que je serais le commanditaire de cette agression, ce qui est
faux.
Sur la
déposition cette personne a encore dénoncé le fait que, je serais responsable
de l’augmentation des prix de l’immobilier à Compiègne de qui est
« grotesque ».
Le nom de la
personne qui a délivré de faux témoignage est conservé secret, en raison du
fait que selon les enquêteurs, on risque sa vie quant on dénonce le fait que je
serais responsable de l’augmentation des prix des biens immobiliers, c’est
« risible ».
En réalité il
s’agit d’un témoignage de complaisance, visant à me faire jeter en prison, pour
casser mon agence immobilière
QUESTION N° 13 : Si j’ai
bien compris, les enquêteurs n’ont pas le droit de révéler le nom du témoin
sous X ?
C’est exact,
les enquêteurs connaissent le nom du témoins sous X mais, n’ont pas le droit de
révéler cette information qui est tenue secrète au Tribunal. Or dans cette
affaire, le procureur Stéphane Hardouin, dans un document de procédure datant
du 27 juin 2016 a révélé le nom du faux témoin sous X.
Stéphane hardouin
est poursuivi en correctionnelle
par Frédéric Molina
Stéphane hardouin avec
Christiane Taubira
QUESTION N° 14 : Pouvez vous
révéler le nom de ce faux témoins sous X ?
Non je n’ai pas
le droit de révéler publiquement le nom de ce faux témoin sous X, c’est une
infraction pénale punie de 5 années de prison.
Je poursuis le
procureur Stéphane Hardouin sur citation directe à l’audience du 07 février
2016 à 13 H 30 au Tribunal correctionnel de Compiègne, pour avoir révélé le nom
du faux témoins sous X.
A cette
audience, je poursuis également Madame Marie-Laure Ringler entre autre pour
escroquerie au jugement.
Il s’agit d’une
audience publique, qui devait être présidée par le Président Pascal Cladière,
qui se « déportera », c’est à dire qu’il ne jugera pas cette affaire.
L’audience sera
en principe présidée par le Président Patrick Rossi, qui est un juge compétent
et sérieux.
QUESTION N° 15 : Est ce
que vous avez encore confiance dans la justice ?
J’ai confiance
dans la justice quant elle est rendue par des magistrats sérieux comme Monsieur
Patrick Rossi ou comme Monsieur Michel Mouchard de la cour d’appel d’Amiens.
QUESTION N° 16 : Est ce
que vous envisagez de porter plainte en récusation contre la juge Gwenola
Journot qui instruit l’affaire Marie-Laure Ringler à Senlis
J’ai déjà
déposé en 2015, une plainte en récusation contre la juge d’instruction Gwenola Journot de Senlis mais, le Premier président de la cour d’appel
d’Amiens (Alain Girot), a rejeté cette plainte en récusation perpétuelle, au
motif que tout est régulier dans cette procédure, alors que ce n’est
manifestement pas le cas.
QUESTION N° 17 : Des
rumeurs se répandent dans Compiègne au sujet de cette affaire, notamment le fait que la juge
d’instruction Gwenola Journot aurait été en congée maladie pour grave
dépression
C’est possible,
je ne confirme pas pour le fait qu’elle serait en grave dépression, ce qui est certain
c’est qu’elle a été récemment en congé maladie, tout le monde le sait y compris
à la cour d’appel d’Amiens.
QUESTION N° 18 : Avez vous
été confronté avec la dame Marie-Laure Ringler qui porte des accusation contre
vous ?
Non.
J’ai été mis en
examen le 19 décembre 2014 et depuis, je n’ai toujours pas été confronté à la
dame Marie-Laure Ringler, pour vérifier les accusations qu’elle porte contre
moi.
J’ai demandé à
la juge d’instruction Gwenole Journot une confrontation avec la dame
Marie-Laure Ringler, elle refuse cette confrontation ce qui n’est pas normal.
QUESTION N° 19 : Pouvez
vous rappeler les accusations portées contre vous par la dame Marie-Laure
Ringler ?
La dame
Marie-Laure Ringler porte contre moi des accusations qui ne sont pas fondées :
- destruction
d’une prise de courant située à l’extérieur de sa maison, je conteste ;
- destruction
d’un morceau de gouttière d’une valeur de 12,45 Euros, je conteste ;
- harcèlement
sur ex conjoint, le fait d’avoir engagé contre elle une procédure pour
diffamation car elle a traité les fils de « bougnoule » ;
- violence sans
ITT et sans certificat médical sur ex conjoint, je conteste.
QUESTION N° 20 : Est ce
normal de faire 4 mois de détention provisoire pour des infractions sans preuve
Non, ce n’est
pas normal.
Le juge de la
détention et des libertés a dit à mon avocat Me Jean-Claude B. qu’il était
étonné que le procureur Stéphane Hardouin ait réclamé une détention provisoire
pour des faits contestés et alors que la procédure ne comporte aucune preuve
des accusations portées par la dame Marie-Laure Ringler.
C’est le
procureur Stéphane Hardouin qui a exigé que je sois placé en détention
provisoire par des réquisitions écrites.
A l’audience
devant le juge de la détention et des libertés, le Procureur Stéphane Hardouin
m’a indiqué que c’est la première affaire qu’il a prise en charge en arrivant
au Tribunal de Compiègne.
A Paris dans la
quartier du Marais, une rumeur indique que le procureur Stéphane Hardouin a été
nommé à Compiègne pour s’occuper de mon cas, mais de n’est qu’une rumeur à
laquelle il ne faut pas prêter attention.
QUESTION N° 21 : Avez vous
l’intention de déposer une plainte pour suspicion légitime contre le Tribunal
de Compiègne et contre le Tribunal de Senlis ?
Oui, j’ai
chargé mon super Avocat Me François Dangléhant, pour déposer devant la Cour de
cassation une requête en suspicion légitime perpétuelle contre le Tribunal de
Compiègne et contre le Tribunal de Senlis, pour défaut d’impartialité.
Je suis
poursuivi par le Tribunal de Senlis pour des infractions imaginaires à la suite
de la plainte de la dame Marie-Laure Ringler.
Je suis
poursuivi pour avoir détruit une prise de courant à 5,45 Euros, ce que je
conteste.
4 mois de détention provisoire
pour avoir détruit une prise de courant située
située à l'extérieur de la maison de la
dame Marie-Laure Ringler
infraction contestée
Je suis
poursuivi pour avoir détruit un morceau de gouttière à 12,50 Euros, ce que je conteste
4 mois de détention provisoire
pour avoir détruit un bout de gouttière
située à l'extérieur de la maison de la
dame Marie-Laure Ringler
infraction contestée
Pour ces
infractions « bidonsky », j’ai été jeté en détention provisoire
pendant 4 mois sur la demande du procureur Stéphane Hardouin.
Je suis
poursuivi par le Tribunal de Compiègne sur enquête préliminaire ouverte par la
procureur Stéphane Hardouin entre autre pour exercice de la profession d’agent
immobilier sans carte professionnelle, ce qui est complètement faux.
QUESTION N° 22 : Dans la mesure où vous estimez être victime d’une affaire montée contre vous, avez vous pensé à engager un détective privé, pour savoir qui a organisé cette opération de type « barbouze » contre vous
QUESTION N° 22 : Dans la mesure où vous estimez être victime d’une affaire montée contre vous, avez vous pensé à engager un détective privé, pour savoir qui a organisé cette opération de type « barbouze » contre vous
Oui, j’y pense, on m’a indiqué que je pourrais engager le colonel Igor Touchpareff, un ancien du KGB reconverti comme détective privé, il est très efficace paraît il.
J’ai le droit de connaître la vérité, j’ai le droit de savoir qui a organisé contre moi des procédures sur des infractions imaginaires.
Si la justice ne fait pas son travail dans les procédures montées contre moi, j’envisagerais cette solution, on ne peut pas accepter que le service public de la justice soit utilisé à des fins de « règlement de compte ».
Je vais prochainement mettre en place une adresse mail, pour que toute personne détenant des informations sur cette affaire, puisse dans le respect de l'anonymat, me dire qui a organisée cette " cabale " contre moi.
On me conseille même d'offrir une prime, aux personnes qui me permettront de découvrir la vérité sur cette affaire.
Je réfléchis à cette possibilité.
QUESTION N° 23 : Dans cette affaire, qui est le directeur de l’enquête
C’est le gendarme Jean-Yves Sergent qui a commis plusieurs irrégularités, c'est un " spécialiste de la pédale ", je veux dire un ancien coureur cycliste, je crois qu'il s'est préparé pour le Tour de France et pour le Paris Roubaix, c'est très dur les sports de pédale, il faut pédaler et encore pédaler pendant des heures et des heures, c'est très dur.
Dans un rapport
de synthèse, le gendarme Jean-Yves Sergent indique qu’il aurait saisi chez moi deux
montres de collection SUISSE dont l’une d’une valeur de 30 000 Euros, mais ça c'est pas vrais.
Mais, sur le
procès verbal de saisie ne figure pas de montre de collection SUISSE d’une
valeur de 30 000 Euros, donc :
- soit le
gendarme Jean-Yves Sergent a fait une confusion avec un autre dossier ce qui
est possible et regrettable ;
- soit le
gendarme Jean-Yves Sergent a mis les montres de collection dans sa poche, ce
qui n’est pas très chrétien ;
- soit le
gendarme Jean-Yves Sergent a inventé des faits qui n’existent pas, dans son
rapport de synthèse.
Dans tous les
cas, ce n’est pas très chrétien
J'ai cité comme témoin le gendarme Jean-Yves Sergent à l'audience du 07 février 2017 à 13 H 30 devant le Tribunal de Compiègne, pour connaitre la vérité sur cette affaire de montre de collection à 30 000 Euros.
Le gendarme Jean-Yves Sergent m'a indiqué qu'à l'audience " on va bien rigoler ".
Personnellement, je ne vois pas ce qu'il y a de risible à inventer la saisie d'une montre à 30 000 Euros.
J'ai cité comme témoin le gendarme Jean-Yves Sergent à l'audience du 07 février 2017 à 13 H 30 devant le Tribunal de Compiègne, pour connaitre la vérité sur cette affaire de montre de collection à 30 000 Euros.
Le gendarme Jean-Yves Sergent m'a indiqué qu'à l'audience " on va bien rigoler ".
Quant un gendarme rit dans la gendarmerie
tous les gendarmes rit dans la gendarmerie
par Fred Adisson
Personnellement, je ne vois pas ce qu'il y a de risible à inventer la saisie d'une montre à 30 000 Euros.
Jean-Yves Sergent
le directeur des enquêtes
contre Frédéric Molina
est cité comme témoin
à l'audience du 07 février 2017 à 13 H 30
est cité comme témoin
à l'audience du 07 février 2017 à 13 H 30
QUESTION N° 24 : Comptez
vous déposer une plainte contre le gendarme Jean-Yves Sergent ?
Oui, je réserve
la possibilité de déposer plainte contre le gendarme Jean-Yves Sergent devant l’inspection
de la gendarmerie nationale, sauf s'il nous dit qu'il a fait des erreurs à cause d'une surcharge de travail, ce qui est possible.
Je suis un bon chrétien et je pratique le pardon envers le pêcheur qui s'est égaré à l'insu de son plein gré.
Tout le monde peut faire des erreur, amen ! ! !
Je suis un bon chrétien et je pratique le pardon envers le pêcheur qui s'est égaré à l'insu de son plein gré.
Tout le monde peut faire des erreur, amen ! ! !
AUDIENCE DEVANT LE TRIBUNAL DE COMPIEGNE
LE 07 FEVRIER 2017 A. 13 H 30
Prochainement des nouvelles révélations sur la combine montée par la dame Marie-Laure Ringler
contre le valeureux Monsieur Frédéric Molina
contre le valeureux Monsieur Frédéric Molina
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