jeudi 30 avril 2020

François Asselineau repousse le congrès au 11 juillet 2020 pour virer la «  vieille garde »



François Asselineau repousse le congrès



François Asselineau s’attaque à la «  vieille garde » 


 François Asselineau s’attaque à la «  vieille garde » 


Bonaparte le jour de l’abdication 


Bonaparte le jour de l’abdication 


Bonaparte le jour de l’abdication 
rend hommage à la « vieille garde » 

Aux dernières nouvelles
François ASSELINEAU repouse 
le congrès du 06 juin 2020 
au 11 juillet 2020

A suivre
Le congrès ne pourra pas avoir lieu le 11 juillet 2020
compte tenu du fait que l’UPR ne dipose pas 
d’un logiciel de vote électronique sécurisé
(environs 14 500 électeurs)


Le 20 avril 1804, après avoir abdiqué au chateau de Fontainebleau, Bonaparte a rendu un dernier hommage à la vieille garde, avant de partir en exile pour un voyage sans retour.

Le 25 avril 2020, en plein confinement, François Asselineau s’est attaqué de manière frontale à la   veille garde de l’UPR, autrement dit aux personnes qui composent le bureau national.

François ASSELINEAU qui n’est pas un démocrate veut réduire de manière totalement arbitraire le mandat des membres du bureau national de 5 mois.

Les membres du bureau national ont été élu en 2017 pour un mandat de 3 ans qui se termine fin décembre 2020.

Si François ASSELINEAU était un démocrate, il aurait donné sa démission et fait désigner un mandataire ad hoc par la justice pour organiser des élections.

Plus précisément, François Asselineau dénonce le fait que 18 personnes composant le bureau national 

- seraient des putchistes ;

- qui violent la loi et les statut de l’association à but non lucratif UPR.

Ce discours est susceptible de comporter (sur le fondement de la loi sur la presse) des injures et des diffamations.

Il existe donc manifestement un grave désacord entre François Asselineau et 18 personnes siégeant au conseil national.

François Asselineau reproche donc à 18  membres du bureau national de violer la loi, mais lui-même  a violé la loi en insérant dans les statuts de l’UPR des clauses manifestement contraires à la loi.

Ainsi les statuts de l’UPR rédigés par François Asselineau comportent au moins 2 clauses contraires à la loi :

- un membre de l’UPR qui n’a pas la nationalité française ne dispose pas du droit de vote. Cette clause porte atteinte à un principe général du droit électoral et constitue une grave discrimination ;

- le vote peut avoir lieu par procuration et une personne peut disposer de 3 procurations, alors que la loi sur les associations n’ayant pas autorisé le vote par procuration, cette manière de faire est interdite, selon la jurisprudence récente de la Cour de cassation.

François Asselineau accuse 18 membres du burreau national d’avoir violé la loi, mais lui-même se croit au-dessus de la loi, ou est incapable de connaitre et de comprendre la loi.

Bref, François Asselineau explique à qui veut l’entendre, qu’il va organiser un congrès vers le 06 juin 2020, pour élir des nouveaux organes de direction : Président et Bureau politique.

On ne voit pas comment François Asselineau pourrait organiser un congrès vers le 06 juin 2020, alors que les rassemblements le plus de 5000 personnes sont interdits, compte tenu du fait que plus de 39 000 personnes pourraient se rendre à ce congrès pour voter (en théorie).

Les mauvaises langues explique que l’UPR ne comporterait plus de 14 800 membres à jour de cotisaiton.



François Asselineau viole les statuts
en organisant un congrès le 11 juillet 2020

Il est clair qu’aucun congrès ne pourra être organisé compte tenu de la situation sanitaire liée au « clorauvirus » ni en juin, ni en juillet, ni en août 2020.

François Asselineau devra donc se conformer à la loi et renoncer à organiser un congrès vers le 06 juin 2020, pour «  liquider » la vieille garde de l’UPR.

François Asselineau a imaginé pourvoir organiser un « congrès virtuel » par internet, avec bien évidemment, un vote électronique avec un « huissier » qui ne servira à rien ! ! !

Le vote électronique suppose une ou des « machines de vote électronique » avec les communications crypotées et sécurisées, avec des «  clefs de vote électronique » pour chaque sociétaires à jour de cotisation,  alors que l’UPR ne dispose d’aucun équipement de cette nature.

Vote électronique ou pas, celui qui prétendra avoir gagné les élections devra présenter le procès-verbal actant le résultat de l’élection et la liste d’émargement des électeurs.

Même en cas de vote électronique, la validité d’une élection à bulletin secret est conditionnée à la production de la liste d’émargement du vote, liste d’émargement qui doit être dréssée en conformité aux principes généraux du droit électoral.

A défaut, n’importe qu’elle électeur de l’UPR pourra former une protestation électorale devant le juge de l’élection et obtenir l’annulation du vote.

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François Asselineau a donc du soucis à se faire, en cas d’élection régulière, il pourrait bien perdre les élections au prochain congrès.

En l’état, 18 membres du bureau national ont demandé à François ASSELINEAU de présenter sa démission, sur le fondement de reproches relatifs à des faits de harcèlement. 

Un dénommé Xavier MONIOT-LUNDY a publié une vidéo pour expliquer qu’il présente sa candidature pour succéder à François ASSELINEAU et encore pour débiner les 18 membres du bureau national, qu’il qualifie de « putschiste ».

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Il ne faut pas oublier que François ASSELINEAU avait oublié en mars 2017 d’organiser un congrès pour élire les nouveaux organes de gestion.

Voir cette première affaire : CLIQUEZ ICI

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