lundi 10 avril 2017

Pascal Cladière dans l'affaire Frédéric Molina, un juge du Tribunal de Compiègne qui n'est pas impartial

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Pascal Cladière 
du Tribunal de Compiègne
un juge qui manque d'impartialité


 Pascal Cladière en haut à gauche
du Tribunal de Compiègne
un juge qui manque d'impartialité


Tribunal de Compiègne

La Commission nationale d'enquête sur la justice a reçu une plainte concernant le comportement du juge Pascal Cladière, qui était en charge de l'affaire du valeureux Frédéric Molina, au Tribunal de Compiègne.

De quoi s'agit-il ?

Le valeureux Frédéric Molina a été mis en examen sur des infractions imaginaires, sur les ordres de l'ancien procureur Stéphane Hardouin, qui travaille maintenant auprès du Ministre de la justice Jean-Jacques Urvoas.

Monsieur Frédéric Molina a été mis en examen pour destruction de biens :

- une prise de courant située à l'extérieur de la maison de la dame Marie-Laure Ringler ;

- un morceau de gouttière situé à l'extérieur de la maison de la dame Marie-Laure Ringler.

Monsieur Frédéric Molina a été mis en examen abusivement, car il n'a aucun responsabilité dans cette affaire.

Le journal Le Parisien Libéré a dénoncé le fait que le valeureux Frédéric Molina serait responsable de destruction de bien (une prise de courant à 5,50 Euros et un morceau de gouttière à 12,80 Euros) en relation avec la mafia et avec l'aide éventuelle du grand banditisme.

Le valeureux Frédéric Molina a donc demandé au journal le Parisien Libéré de publier un " droit de réponse " pour rétablir la vérité, et pour informer le public qu'il fait l'objet d'une vilaine diffamation:

- non il n'a aucune responsabilité dans la destruction de la prise de courant à 5,50 Euros ;

- non il n'a aucune responsabilité dans la destruction du morceau de gouttière à 12,80 Euros ;

- non il n'a pas de relation avec la mafia et le grand banditisme ;

- il a donc été mis en examen abusivement.

Le journal le Parisien Libéré, en violation de la loi d'ordre public,  a refusé de publier ce juste droit de réponse.

Le valeureux Frédéric Molina a donc délivré une citation à comparaitre devant le Tribunal correctionnel de Compiègne contre le journal Le Parisien Libéré, pour refus de publication du droit de réponse, ce qui constitue une infraction pénale.

Cette affaire est venue à l'audience du 28 janvier 2017 devant le Tribunal correctionnel de Compiègne, audience consacrée à la fixation de la consignation à payer par le valeureux Frédéric Molina pour l'engagement de la procédure contre le journal Le Parisien Libéré.

L'audience a été présidée par le juge Pascal Cladière.

Le valeureux Frédéric Molina a demandé au juge Pascal Cladière de fixer la consignation à 1 Euro symbolique.

Le juge Pascal Cladière a fixé la consignation à 2000 Euros, dans le but de dissuader le valeureux Frédéric Molina de payer cette consignation avec la conséquence que la procédure visant à faire condamner le journal Le Parisien Libéré n'aurait pas pu commencer.

Monsieur Frédéric Molina avec l'aide de son super Avocat Me François Dangléhant, a fait appel de la décision prise sous la responsabilité du juge Pascal Cladière, décision fixant la consignation à 2000 Euros pour l'ouverture de la procédure.

Cette affaire est venue devant la cour d'appel d'Amiens, qui a fixé la consignation à 300 Euros, soit 7 fois moins cher que ce qui avait été décidé par le Tribunal de Compiègne, sous la responsabilité du juge Pascal Cladière, qui avait dit à Monsieur Frédéric Molina c'est moi qui décide.

En fixant de manière abusive la consignation à la somme exorbitante de 2000 Euros, le juge Pascal Cladière a-t-il été impartial, c'est la vrais question ?

Et bien non, le juge Pascal Cladière n'a pas été impartial, la cour d'appel d'Amiens a réduit à 300 Euros cette consignation.

Il faut dire que  les informations du journal Le Parisien Libéré  indiquant faussement que Monsieur Frédéric Molina serait impliqué dans une affaire de destruction de bien en relation avec la mafia et l'aide éventuelle du grand banditisme, ont été fournies à ce journal par l'épouse du juge Pascal Cladière, qui est le procureur de Senlis (Amélie Cladière).

Les mauvaises langues indiquent que le juge Pascal Cladière aurait fait exprès de fixer une consignation exorbitante (2000 Euros), par solidarité avec son épouse le procureur Amélie Cladière.

Mais tout ça c'est pas vrais.

L'affaire du droit de réponse contre le journal Le Parisien Libéré a été renvoyée au début du mois de juin pour audience sur le fond.

A cette audience, Monsieur Frédéric Molina demandera au Tribunal correctionnel de Compiègne de déclarer coupable le journal Le Parisien Libéré pour refus illégal de publier un droit de réponse. 

En principe le juge Pascal Cladière, qui a été " rasé " par la cour d'appel d'Amiens se déportera, comprendre qu'il ne jugera pas cette affaire.

Dans le cas contraire, le valeureux Frédéric Molina sera obligé de récuser le juge Pascal Cladière, pour défaut d'impartialité.

La suite au prochain numéro.



Le valeureux Frédéric Molina
victime d'une consignation exorbitante de la part
du juge Pascal Cladière de Compiègne  

Il a toutes les preuves d'une grosse combine

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