mardi 24 janvier 2017

Pascal Cladière le juge de Compiègne est il impartial : affaire Frédéric Molina / Le Parisien Libéré

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Pascal Cladière au centre
Stéphane Hardouin à droite


Stéphane Hardouin 
ex procureur de Compiègne 

convoqué le 7 février 2017 à 13 H 30
pour violation du secret de l'instruction
et pour révélation 
du nom d'un témoin sous X


Stéphane Hardouin 
ex procureur de Compiègne 

Convoqué le 7 février 2017 à 13 H 30
pour violation du secret de l'instruction
et pour révélation 
du nom d'un témoin sous X

 
Stéphane Hardouin 
ex procureur de Compiègne 

Convoqué le 7 février 2017 à 13 H 30
pour violation du secret de l'instruction
et pour révélation 
du nom d'un témoin sous X
 

Stéphane Hardouin 
ex procureur de Compiègne  

Convoqué le 7 février 2017 à 13 H 30
pour violation du secret de l'instruction
et pour révélation 
du nom d'un témoin sous X
 

Stéphane Hardouin 
ex procureur de Compiègne
 
Convoqué le 7 février 2017 à 13 H 30
pour violation du secret de l'instruction
et pour révélation 
du nom d'un témoin sous X

Stéphane Hardouin 
ex procureur de Compiègne 
avec Christiane Taubira
et de Jean-François Beynel qui a condamné 
l'Avocat Bernard Ripert de Grenoble
  
Monsieur Frédéric Molina, est un valeureux agent immobilier qui fait l’objet d’une campagne de grave diffamation de la part du journal Le Parisien Libéré et du journaliste Vincent Gautronneau.

C'est le pigiste Vincent Gautroneau, qui a signé la plupart des articles du Parisien Libéré, qui dénonce faussement Monsieur Frédéric Molina comme étant un membre de la mafia avec relation éventuelle avec le grand bnaditisme, ce qui est faux.



Au travers une campagne de presse (article du 27 septembre 2016, article du 28 septembre 2016, article du 14 octobre 2016), le Parisien Libéré a organisé une campagne de « propagande » qui expose le fait que Monsieur Frédéric Molina aurait été mis en examen pour destruction de bien en relation avec la mafia et, le concours éventuel du grand banditisme.



Monsieur Frédéric Molina a en effet été mis en examen pour destruction de bien, sur plainte de Madame Marie-Laure Ringler :



- pour destruction d’une prise de courant d’une valeur de 5 Euros, située à l’extérieur de la maison de Madame Marie-Laure Ringler ;



- destruction d’un morceau de gouttière d’une valeur de 12,8 Euros, située à l’extérieur de la maison de Madame Marie-Laure Ringler ;



- destruction d’une porte d’une valeur de 45 Euros située dans la maison de Madame Marie-Laure Ringler.



Monsieur Frédéric Molina conteste être responsable de ces faits et a pourtant été placé en détention provisoire pensant 4 mois entre autre pour ces faits qu'il n'a pas commis.



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Le journal le Parisien Libéré expose dans ses articles que les informations sur cette affaire lui ont été communiqués par les « enquêteurs » et par le Procureur de la République de Senlis, Madame Amélie Cladière, qui est sauf erreur de notre part, l’épouse du juge Pascal Cladière qui préside de Tribunal correctionnel de Compiègne.



Monsieur Frédéric Molina a donc adressé au journal le Parisien Libéré 4 droits de réponse.



Le journal le Parisien Libéré a refusé de publier trois droits de réponse sur quatre.



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Ci-dessous le droit de réponse que le journal le Parisien Libéré a refusé de publier



DROIT DE REPONSE DONT L’INSERTION EST DEMANDEE 

L’article de Monsieur Vincent GAUTRONNEAU expose que, je suis poursuivi pour exercice du métier sans carte professionnelle (1) et blanchiment d’argent (2). Cet article propage des fausses informations me concernant car, le 27 septembre 2016, les citations d’avoir à comparaitre devant le Tribunal correctionnel ont été annulées et depuis, je n’ai reçu aucune nouvelle citation à comparaitre. Le 14 octobre 2016, c’est à dire le jour de la publication de l’article objet du droit de réponse, aucune poursuite pénale n’était donc engagées contre moi devant le Tribunal correctionnel de Compiègne, en conséquence, le discours relaté sur mon compte par Monsieur Vincent GAUTRONNEAU est inexact. Ce même article expose que je suis poursuivi à SENLIS pour usage de faux en écriture publique, cette information est encore inexacte, je ne suis pas mis en examen pour usage de faux en écriture publique. Le journal le PARISIEN propage donc des informations inexactes sur mon compte. Je suis effectivement mis examen pour destruction de biens appartenant à autrui, il s’agit d’une prise de courant à 5 Euros située à l’extérieur d’une maison et d’un morceau de gouttière en plastique d’une valeur de 12,5 Euros situé à l’extérieur d’une maison. Je conteste être l’auteur de ces dégradations. Madame Marie-Laure R. a reconnu avoir elle-même détruit à coup de masse sa propre maison (2 velux, la toiture et tout l’intérieur de sa maison dans une crise de folie). Je suis encore mis en examen pour des faits de violence sur la personne d’une ex conjointe,  Madame Marie-Laure R.  Je conteste cette accusation fantaisiste, qui ne repose pas même sur un certificat médical UMJ. J’ai été mis en examen le 19 décembre 2014, pour avoir fabriqué un « faux constat d’huissier », accusation fantaisiste. En effet, le 07 janvier 2015, le juge d’instruction a perquisitionné le cabinet de l’huissier et, a trouvé le constat d’huissier pour lequel j’ai été mis en examen le 19 décembre 2014, au motif que j’aurai moi-même « fabriqué » ce constat d’huissier. J’ai donc été placé en détention provisoire le 19 décembre 2014, sur la demande expresse du Procureur de COMPIEGNE, pour avoir « fabriqué » un faux constat d’huissier, qui en réalité a été dressé par un véritable huissier. Après avoir découvert le 07 janvier 2015 que je n’avais pas « fabriqué » un faux constat d’huissier et donc que la mise en examen était abusive, je n’ai pas été remis en liberté. Le 14 avril 2015, la Chambre de l’instruction de la cour d’appel d’AMIENS a ordonné ma remise en liberté immédiate, après avoir constaté que la procédure était irrégulière. Salutations distinguées. Frédéric MOLINA.

Le journal le Parisien Libéré a refusé de publier ce droit de réponse, sous prétexte que Marie-Laure Ringler était citée (Marie-Laure R.)

C'est le procureur Stéphane Hardouin qui a signé les réquisitions exigeant le placement en détention provisoire du valeureux Frédéric Molina, un chef d'entreprise sans histoire.



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Le valeureux Frédéric Molina a donc délivré au Directeur de la publication du journal le Parisien Libéré, une citation au visa de l’article 13 de la loi du 29 juillet 1881, pour refus d’insertion d’un droit de réponse.



Cette affaire est venue le 24 janvier 2017 à 08 H 30 devant le Tribunal correctionnel de Compiègne, présidé par le juge Pascal Cladière.



Le Tribunal devait à cette audience, fixer une consignation (le versement d’une somme d’argent), avant l’ouverture de la procédure pour refus de publication d’un droit de réponse.

Or, le Tribunal correctionnel présidé par le juge Pascal Cladière a fixé une consignation exorbitante soit 2000 Euros à payer par le valeureux Frédéric Molina, avant l’ouverture de la procédure pour refus de publication du droit de réponse en expliquant que c’est lui qui prend les décisions.



Cette consignation est exorbitante et tend à priver les citoyens de la possibilité d’obtenir la publication d’un droit de réponse en cas d’information à scandale et ce, sous la responsabilité du juge Pascal Cladière.



Comment peut s’expliquer une situation de cette nature.



Le juge Pascal Cladière est il impartial ?



C’est la question ! ! !



Les fausses informations publiées sur Frédéric Molina par le journal le Parisien ont été fournies par le Procureur de Senlis, Madame Amélie Cladière, qui est sauf erreur de notre part, l’épouse du juge Pascal Cladière.



Le juge Pascal Cladière a donc statué sur une affaire de droit de réponse, sur des informations fournies à la presse par son épouse, le Procureur Amélie Cladière.



C’est toute la difficulté.



Une juge impartial se serait « déporter », il aurait refusé de siéger sur une affaire où son épouse est en cause indirectement, comme dans l’affaire du juge Popinot.



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Monsieur Frédéric Molina a fait appel de cette décision (2000 Euros) de consignation, pour une simple affaire de refus de droit de réponse.



D’autres affaires importantes viennent devant le Tribunal correctionnel de Compiègne à l’audience du 07 février 2017 à 13 H 30, en principe présidée par le même juge Pascal Cladière, qui se déportera et sera remplacé par le Président Patrick Rossi.



Il s’agit d’une citation directe délivrée par le valeureux Frédéric Molina contre l’ancien Procureur Stéphane Hardouin pour violation du secret de l’instruction et révélation du nom d’un témoin sous X.



Il s’agit encore d’une citation directe délivrée par le valeureux Frédéric Molina contre Madame Marie-Laure Ringler pour dénonciations calomnieuses et escroquerie par jugement.



Dans ces affaires, sont cités comme témoins :



- le gendarme Jean-Yves Sergent ;



- la juge d’instruction Gwenola Journot ;



- la procureur Amélie Cladière ;



- l’ancien procureur Stéphane Hardouin.



Toutes ces affaires seront renvoyées, car le valeureux Frédéric Molina va déposer une question prioritaire de constitutionnalité et une requête en suspicion légitime perpétuelle.



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A l'audience du 07 février 2017 à 13 H 30, sont convoqués comme prévenus :

- Madame Marie-Laure RINGLER pour dénonciations calomnieuses et escroquerie au jugement ;

- Monsieur Stéphane Hardouin, pour violation du secret de l'instruction et, révélation du nom d'un témoin sous X., des faits d'une extrême gravité.

Stéphane Hardouin et Marie-Laure Ringler sont présumés innocent par le Code de procédure pénale. 

La juge Gwenola Journot qui est convoqué comme témoin ne viendra pas car elle est en congé maladie.

Le procureur Amélie Cladière qui est convoqué comme témoin ne viendra pas ! ! !

L'ex procureur Stéphane Hardouin qui est convoqué également comme témoin dans l'affaire de Monsieur Frédéric Molina ne viendra pas, sans donner un motif valable.

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Stéphane Hardoin occupe actuellement un poste très important au Ministère de la Justice auprès du Bien Heureux Ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas.

Stéphane Hardouin a été nommé le 01 juillet 2016, sous-directeur à la Direction des affaires criminelle et des grâce au Ministère de la justice.

Pour voir la nomination : CLIQUEZ ICI

C'est une affaire qui tombe au plus mal car, Jean-Jacques Urvoas a engagé en juillet 2016 Stéphane Hardoin au Ministère de la Justice à la Direction des affaire judiciaire et des grâces.

Stéphane Hardouin est actuellement l'un des plus proche collaborateur du Ministre Jean-Jacques Urvoas alors qu'il est accusé quant il était procureur de Compiègne, d'avoir violé le secret de l'instruction en délivrant à des tiers des pièces cotées dans une procédure pénale en cours d'instruction au cabinet de la juge d'instruction Gwenola Journot et, d'avoir révélé dans un Soit-Transmis du 27 juin 2016, le nom d'un témoin sous X.

La loi punit de 5 années de prison le procureur qui révèle le nom d'un témoin sous X.


Stéphane Hardouin est présumé innocent par le Code de procédure pénale.
Jean-Jacques Urvoas 
le " Patron " de Stéphane Hardouin


Jean-Jacques Urvoas 
le " Patron " de Stéphane Hardouin


Jean-Jacques Urvoas 
le " Patron " de Stéphane Hardouin

 


Jean-Jacques Urvoas
le " Patron " de Stéphane Hardouin


Le valeureux Président Patrick Rossi
qui prendra l'audience 
du 07 février 2017 à 13 H 30


Gwenola JOURNOT refuse de libérer Frédéric... par I-Fraude

La juge d'instruction Gwenola Journot 
est responsable de la 
détention provisoire illégale 
du valeureux 
Frédéric Molina 
du 25 février 2015 au 14 avril 2015




Le gendarme Jean-Yves Sergent 
est convoqué comme témoin 


En recevant sa convocation il a déclaré
" on va bien rigoler "




Le gendarme Jean-Yves Sergent 
est convoqué comme témoin 

En recevant sa convocation il a déclaré
" on va bien rigoler " 

 
DERNIERE  NOUVELLE

François Hollande

Beranrd Cazeneuve et Jean-Jacques Urvoas 

sont sur le point de signer un décret pour 

nommer l'avocat faussaire François Detton 

dans la magistrature 







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