Carlos Manuel Valls
un catalan déprimé
après la censure de la loi scélérate
sur l’Etat d'urgence
Carlos Manuel Valls
un catalan au bord du suicide
après la censure de la loi scélérate
sur l’Etat d'urgence
Jean-Jacques Urvoas
Ministre de la Justice
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d'urgence
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d'urgence
Jean-Jacques Urvoas
Ministre de la Justice
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d’urgence
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d’urgence
Jean-Jacques Urvoas
Ministre de la Justice
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d’urgence
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d’urgence
Jean-Jacques Urvoas
Ministre de la Justice
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d’urgence
rapporeur de la loi scélarate
sur l’Etat d’urgence
Carlos Manuel Valls
un catalan au bord du suicide
après la cencure de la loi scélérate
sur l’Etat d’urgence
Jean-Jacques Urvoas
rapporteur de la loi scélérate
sur l’Etat d’urgence
non conforme à la Constitution
Par
décision du 19 février 2016, le Conseil constitutionnel, vient de censurer une
partie de la loi sur l’Etat d’urgence voulue par Carlos Manuel Valls et
Jean-Jacques Urvoas.
La
Conseil constitutionnel a déclaré non conforme à la Constitution, lors des
perquisitions administratives effectuées par la police la possibilité de :
-
saisir la copie d’un disque dur d’ordinateur ;
- de faire des recherches sur des fichiers logés dans des disques
durs externes (informations logées chez des hébergeurs externes).
Le
Conseil constitutionnel a estimé que, l’état d’urgence et la lutte contre le
terrorisme ne peuvent justifier que la police entre au domicile d’une personne
pour copier l’ensemble de leurs données informatiques et, pour utiliser leurs
ordinateurs pour accéder à toutes leurs données logées sur le Cloud, grâce aux
sessions ouvertes sur Facebook, Google Drive etc.
Une
mesure de cette nature caractérise une « saisie », or :
« Le
législateur n’a pas prévu de garanties légales propres à assurer une
conciliation équilibrée entre l’objectif de valeur constitutionnelle de
sauvegarde de l’ordre public et le droit au respect de la vie privée ».
En
conséquence, le Conseil constitutionnel « casse », la loi non conforme
à la Constitution, voulue par Carlos Manuel Valls et Jean-Jacques Urvoas.
Carlos
Manuel Valls et Jean-Jacques Urvoas, qui était le rapporteur de cette loi (le
parlementaire qui a demandé le vote de cette loi au nom du Gouvernement), ont
donc gravement violé la Constitution.
On
se souvient que lors du coup d’Etat du 18 brumaire An III (19 novembre 1799),
un Parlementaire a accusé Bonaparte d’avoir violé la Constitution et, a tenté
de le poignarder.
Aujourd’hui,
autre temps, autre mœurs, Jean-Jacques Urvoas, qui a gravement violé la
Constitution et trahis la Bretagne occidentale et le peuple français en faisant voter cette
loi scélérate, a été nommé le 27 janvier 2016, Ministre de la justice.
Entre
le 21 novembre 2015, date de promulgation de la loi n°2015-1501 « relative
à l’état d’urgence et renforçant l’efficacité de ses dispositions », et le
19 février 2016, date à laquelle le Conseil constitutionnel a invalidé
l’article qui permettait de copier les données informatiques lors de
perquisitions administratives, il s’est écoulé très exactement 90 jours.
Deux
mois et 28 jours pendant lesquels la police a réalisé plus de 3 500
perquisitions et, tirer profit d’une disposition, manifestement non conforme à
la Constitution.
Scandale,
Carlos Manuel Valls, savait la loi non conforme à la Constitution et avait
demandé aux députés et aux sénateurs de ne pas saisir le Conseil
constitutionnel.
Cette
loi scélérate, manifestement non conforme à la Constitution, a été votée par
des parlementaires « croupions » aux ordres de Carlos Manuel Valls, de François Hollande et
de Jean-Jacques Urvoas.
C’est
ainsi que pendant 90 jours, un régime
de terreur a été mis en place sur la
France, sous la responsabilité des parlementaires, qui ont trahis le peuple
français, c’est à dire leurs Patrons, à la demande de Carlos Manuel Valls et de
Jean-Jacques Urvoas.
Seuls
6 Parlementaire ont refusé de voter cette loi scélérate dans le style régime de
Vichy :
-
Pouria Amirshahi ;
-
Barbara Romagna ;
-
Gérard Sebaoun ;
-
Isabelle Attard ;
-
Sergio Coronado ;
-
Noël Mamère.
Jean-Jacques Urvoas, a été récompensé pour cette
forfaiture, par une nomination en qualité de ministre de la justice, lui qui a
été rapporteur sur cette loi scélérate.
Jean-Jacques
Urvoas avait estimé lors du débat parlementaire que, faire la copie d’un disque
dur, ne constitue pas une saisie d’information, incroyable, quelle
incompétence.
Lors des
débats parlementaires, Jean-Jacques Urvoas avait même fait rejeter un
amendement qui proposait au minimum de mieux
encadrer la copie des données.
L’auteur de
cet amendement, Denys Robiliard (PS), avait pourtant mis
en garde :
« La
copie des données qui figurent dans un ordinateur se rapproche tant d’une
saisie qu’on peut penser que c’est identique.
Je
souhaite donc que cette copie se fasse dans le respect d’un minimum de formes.
Il
faut qu’elle fasse l’objet d’un procès-verbal, dans lequel on constate qu’on prend
copie d’un certain nombre de fichiers informatiques, sans qu’il soit besoin de
les lister.
En
outre, si l’analyse des fichiers ne révèle pas d’infraction, il faut que cette
copie soit détruite, et qu’un procès-verbal soit établi et adressé au propriétaire
des fichiers.
Sinon,
cela signifie que les données, en dehors de toutes formes, restent à la
disposition de l’administration, ce qui ne me paraît pas être dans l’esprit du
texte. »
+ + + +
Mais
encore, le désormais ministre de la Justice Jean-Jacques Urvoas, avait aussi dit
son accord personnel avec un amendement
du député Alain Chrétien (LR), qui
proposait carrément d’autoriser que le matériel informatique soit saisi sans
autorisation judiciaire préalable.
S’il
s’était opposé à son adoption par les députés, c’est uniquement parce qu’il
redoutait que le Sénat le retoque, alors que le calendrier imposait
que le Sénat vote le texte conforme, sans y changer une virgule.
« Je
demande à Alain Chrétien de faire montre de compréhension, même si ma position
est difficile à entendre. Je n’ai aucun problème avec son amendement, Aucun »,
avait expliqué Jean-Jacques Urvoas. Mais « nous ne travaillons
pas que pour nous. Je n’ai aucunement la certitude que nos collègues du Sénat
l’accepteront ».
+ + + +
Jean-Jacques
Urvoas, s’est cru au-dessus de la Constitution, se croit au dessus de la loi
suprême, il était d’accord, pour faire voter une loi, qui violait encore plus
la Constitution, en permettant, sans intervention du juge judicaire, la saisie
de matériel informatique sans aucune garantie.
Jean-Jacques
Urvoas est donc un dangereux franc-maçon du grand orient, qui a gravement
violé la Constitution, qui constitue la loi suprême, bref :
-
un traitre à la Nation ;
-
un traitre à la Bretagne occidentale.
Jean-Jacques
Urvoas a été récompensé pour avoir gravement violé la Constitution et, pour
avoir instauré un Régime de terreur, qui s’apparente au Régime de Vichy, par
une nomination en qualité de Ministre de la justice.
Ah,
elle est belle la Justice française, avec à sa tête, un violeur de
Constitution, qui a été rapporteur d’une loi scélérate, manifestement non
conforme à la Constitution.
Jean-Jacques
Urvoas doit démissionner immédiatement : pas de violeur de Constitution au
Ministère de la Justice.
La
décision du Conseil constitutionnel, montre aux citoyens, que les
parlementaires sont une bande de guignols, qui, comme sous le régime de Vichy,
sont aux ordres de ceux qui crient le plus fort.
La
catalan Carlos Manuel Valls a donc violé la Constitution et encore, exercé des
pressions sur les parlementaires, pour qu’ils ne saisissent pas le Conseil
constitutionnel de cette loi scélérate.
Le
breton Jean-Jacques Urvoas a donc violé la Constitution et encore, trahis le peuple français et la Bretagne
occidentale : Cross ar braz ! ! !
Etat d’urgence
une loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
une loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
Etat d’urgence
une loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
une loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
Etat d’urgence
une loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
une loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
Etat d’urgence
Loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
et
Chasse aux Avocats
Etat d’urgence
Loi scélarate voulue par
Carlos Manuel Valls
et par
Jean-Jacques Urvoas
et
Chasse aux Avocats
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